RECONSTITUTIONS ET CHANTIER PARTICIPATIF 

Plongez au cœur de l'Antiquité et découvrez les secrets de nos ancêtres Gaulois grâce à notre collaboration avec l'archéologue renommé François Moser.

Nous sommes passionnés par l'histoire et souhaitons la faire revivre avec authenticité et passion. Notre équipe dévouée s'efforce de recréer fidèlement la vie quotidienne des Gaulois à travers des événements de reconstitution historique captivants. Grâce à nos recherches minutieuses et aux connaissances approfondies de François Moser, nos scénarios sont basés sur des faits réels, et chaque détail compte pour vous transporter dans l'ambiance unique de cette époque fascinante.

Mais ce n'est pas tout ! Nous croyons en l'importance de partager cette expérience immersive avec tous les passionnés d'histoire qui souhaitent participer. C'est pourquoi nous organisons régulièrement des chantiers participatifs tout au long de l'année. Vous aurez l'occasion de travailler main dans la main avec nos experts et de contribuer à la construction d'authentiques reproductions de sites gaulois.


 

Vous voulez en savoir plus sur nos futurs chantiers participatifs ? 
Pour être tenu au courant des prochaines dates, il vous suffit de nous appeler directement ou de vous rendre sur notre page "Nous Contacter". 

Rejoignez-nous pour une expérience inoubliable, où le passé se mêle au présent, et où l'histoire des Gaulois renaît sous vos yeux ébahis. Ensemble, plongeons dans les mystères de notre patrimoine ancestral, guidés par l'expertise de François Moser et l'enthousiasme de notre équipe passionnée. Que la magie des Gaulois vous envoûte ! 🏰🗡️🍯 


Nos reconstitutions

Four à coupole fermée

Ce four est la reconstitution exacte du four découvert.
Connus dès le néolithique, ils sont composés, dans l'antiquité, d'une sole en terre battue très lisse recouverte d'une coupole fermée monter en accumulant  des boudins d'argile ou en plaquant des mottes d'argile très sableuses sur une ossature clayonnée. Ils peuvent aussi être construits en pierre ou briques liées à l'argile et disposées en encorbellement. Leur dimensions varient de 60 cm à 4 m. 

Four tronconique

Dits four "tandur" ou tendoora, chribanos en grec. Ce sont des troncs de cône en argile sableuse dont le diamètre à la base est égal à la hauteur et au double de l'ouverture. Il dispose le plus souvent de quatre évents à la base. La dimension moyenne se situe aux environs de 60 cm. Il était destiné essentiellement à la cuisson de galettes collées à la paroi interne, mais servait aussi de chauffage et de four à rôtis.

Four à poterie 

 Le type le plus répandu, quasiment universel, est le four "à deux volumes", c'est-à-dire où charge à cuire et combustible sont séparés par une sole ajourée ;  la partie inférieure au moins est enterrée, ce qui favorise son comportement thermique . Il n'y a  généralement qu'un seul alandier,  même si,  on l'a vu,  la tradition des fours à deux alandiers se maintient un temps. D'innombrables variantes sont attestées qui portent sur la forme du four (circulaire, ovale, rectangulaire, voire polygonale), et surtout sur la manière de construire la sole et de la soutenir : piliers latéraux, centraux, rayonnants ou non, arcs, sole en argile simplement percée de trous (carneaux) ou formant une véritable grille. Leur taille est variable, mais ils n'étaient jamais très grands, 5 à 10m3 utiles constituant la fourchette la plus classique (exception faite, bien sûr, des grands fours à amphores du midi de la Gaule).

Maisonnette gauloise

 Les maisons gauloises étaient les habitations de la Gaule avant et peu après l'arrivée des Romains. Elles étaient construites le plus souvent en bois, en terre et les toits étaient en chaume (paille ou roseaux). La maison est soutenue par une structure en gros bois : les poteaux et des poutres horizontales.

Entre les poteaux, les murs sont faits en torchis, c'est-à-dire un mélange de terre et de paille mis sur un clayonnage : du petit bois entrelacé comme un panier d'osier.  

Les toits étaient faits en chaume, c'est-à-dire de la paille de céréales (blé, seigle) ou des roseaux séchés, attachés par gerbes et permettant à l'eau de pluie de s'écouler sur les côtés. Sur le faîte (le sommet du toit), on met du torchis, donc un mélange de terre, souvent planté d'herbe, pour terminer la jonction entre les deux côtés du toit.

Un toit de chaume, par son épaisseur, permettait de garder la chaleur de la maison (c'est un isolant thermique). Mais il était moins durable que les tuiles. 





construction année 2023

L'année 2023 est terminé. Un grand merci à tous ceux qui nous ont aidé à construit les maisons gauloises en 2023.

maison et cuisine gauloise

Avril et mai construction d'une maison gauloise pour abriter notre cuisine gauloise qui nous permet en période estival de pouvoir faire en manger pour 200 convives.